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Preux-Chevalier
1 novembre 2006

Tristesse du souvenir †

Te souviens-tu du jour où je t'ai rencontrée?
Mon coeur perclus d'amour et des larmes dans les yeux...
Je t'ai aimée si fort qu'aujourd'hui je n'aime plus
Tu as marqué ma vie et la mort est mon voeu.

J'erre parmi les vivants comme au milieu des tombes,
Je cherche le Néant en plein milieu des ombres,
Mon coeur est tout à toi, tu peux le transpercer
Mais sache que, même comme ça, il ne cessera d'aimer.

Qu'il est doux ce passé quand jadis je te vis :
Tu étais radieuse et belle comme Cléopâtre!
Mon coeur s'est enflammé en un seul court instant
Après quoi tu devins mon Amour le plus grand.

Errant parmi les stèles comme entre les vivants
Je cherche un coin où pendre ce vieux coeur défaillant.
L'enterrer quelque part pour qu'il cesse de battre
Et qu'il étouffe ainsi la passion de ma vie.

 

Note : Tous les quatrains sont interchangeables.

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Commentaires
L
Sublime! L'âme d'un grand poête erre dans ces lignes.
C
Bo blog, le mien parle d'amour aussi, et entre autre d'un amour parti et bien présent pourtant.<br /> je reviendrai te lire.
C
Je suis émue devant tant d'amour et de peine. Ton blog est très beau et rempli de douceur. Tu dois être un homme charmant^^<br /> Bon courage
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