Le réveillon ça donne du punch!

Après 24 heures de repos sans concession, je peux enfin remarcher. Ce n'est pas trop tôt! Finalement ce n'est pas mal un réveillon tout seul. Je peux me servir ce que j'aime. Là, j'en suis encore à l'apéro et je viens de prendre une orangeade bien vitaminée (sic). La tête me tourne et je n'ai pas encore entamé le saumon ni le foie gras qui vont suivre (dans cet ordre, comme l'exigent les vrais gastronomes) avec un Monbazillac que j'ai soigneusement sélectionné. Allez, il est temps de passer à la suite. Je sens que le reste de la soirée ne sera pas triste. Pourtant, si je suivais la pulsion qui fait vibrer mon coeur, j'écrirai des choses qui remueraient quiconque au plus profond de l'âme.
Un vide terrible m'envahit... celui de mon verre.