24 septembre 2008
En écoutant Samuel Barber
Le son du violon
Étreint mon cœur
D'une sensation
Qui me conduit
A l'émotion
D'avoir aimé,
D'aimer toujours ?
Ma belle amie
La seule, l'unique,
Celle qui mon cœur
Tient en otage
Et en possède
La clé sensible...
Celle de l'Amour
Le plus profond et le plus vrai.
Une passion qui dure tant
Que les empires mourront avant...
(Pendant Adagio For Strings, 25 juillet 2008)
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